Ensemble, préservons aujourd'hui l'avenir
Depuis 2004, au centre d'un conflit savamment entretenu par un collectif identitaire rural ABAG, voué à être détruit en 2009 par M. Le Maire et les co-gérants du GAEC Lo Pres Dary, pour élargir la cour du XVIIe exigüe que traverse aujourd'hui, en ce XXIe, un chemin rural, emprunté par des irréductibles et des véhicules monstrueux du XXIe; il est l'objet de bien de maux.
Le bâtiment, non fonctionnel pour un GAEC du XXIe, est dans un état de délabrement avancé, en raison de l'absence volontaire d'entretien et d'actes de vandalisme ciblés, a besoin d'être restauré.
Vous avez le droit de savoir.
"Il faut être fier d'avoir hérité de tout ce que le passé avait de
meilleur et de plus noble. Il ne faut pas souiller son patrimoine en
multipliant les erreurs passées." Gandhi
Chers Amis,
À Frangy, des parties du patrimoine bâti s'en vont et emportent avec elles de larges pans de l'Histoire du village, mais aussi de ce que l'on appelle au XXIe, la Haute-Savoie. Plusieurs bâtiments
qui ont résisté à l'usure du temps, des siècles durant, ont été
entièrement rasés en quelques heures; d'autres cèdent à l'implacable
œuvre du temps et disparaissent les uns après les autres.
À Frangy, le peu qui reste continue de subir les affres de la bêtise, du laisser-aller et de l'abandon. Le vieux Centre-bourg en est l'exemple édifiant. Il donne l'image d'un désastre. Il est par ailleurs très facile de laisser l'habitat se dégrader et de s'en servir ensuite comme prétexte pour le démolir. Le village compte encore de rares témoignages du passé tumultueux du Genevois mais plusieurs d’entre eux ont littéralement disparu sous le coups des bulldozers et autres pelleteuses d'entrepreneurs BTP locaux; en cause : l’incurie municipale, une urbanisation désordonnée, voire chaotique, ...
À Frangy, ces destructions ont fait des ravages et continue d'en faire. Alors que des édifices sont ensevelis sous des gravats, concassés dans des zones industrielles, la préservation est, semble-t-il, le dernier souci des élus et de M. Le Maire, Bernard Revillon, agriculteur. Il est difficile de se prononcer, aujourd'hui avec exactitude, sur le nombre des bâtiments historiques qui ne figurent plus que sur les plus anciennes des cartes postales ou photos des vieux frangypans.
À Bel-Air, construits dans la pente, le corps de logis et le corps de dépendances agricoles, deux des plus imposants bâtiments encore debout, s’articulent autour d’une cour ouverte exigüe du XVIe. Ils sont articulés avec le bucher, le lavoir, le pigeonnier autour d'une cour exigüe, orientée Est-Ouest. L’accès à ces espaces de vie se fait uniquement par la cour centrale, à l'exception des caves viticoles du corps de logis.
À Bel-Air, l'enjeu a été un temps de déstabiliser sa structure et provoquer ainsi sa destruction. Partie intégrante du Domaine, il a donc été inscrit depuis, contre l'avis de ses propriétaires et d'un agriculteur, aujourd'hui maire omnipotent. Bien que protégé depuis, il est toujours l'objet d'un chantage aux acte de vandalisme (et donc à la ruine). La mise en péril étant l'une des prérogatives permettant à un Maire de détruire un monument, même inscrit. Sciemment non entretenu, il continu à être volontairement percuté par d'énormes engins, toujours autorisés depuis que M. Le Maire, ait enlevé l'interdiction, ... jamais respectée et réprimée.
Sous l'impulsions des propriétaires du corps de logis et de rapports accablants, ces agriculteurs ont été sommés de procéder à quelques travaux, sous couvert d'une expropriation.
À Bel-Air, de graves désordres structurels ont été repérés comme des problèmes de stabilité des pierres d'angle, de fissures sur les maçonneries d'appui ou de fuites. A Frangy, comment ne pas être atterrés de constater avec quel mépris le patrimoine est traité ? Comment ne pas être atterrés par l'accueil réservé à ces néo-ruraux, à ces étrangers qui rachètent ces vieilles maisons délabrées en ruine, rachetées au prix fort à ces agriculteurs, amoureux de leurs terres et de leurs village ... à eux, qui n'hésitent pas à les détruire et dont aucun locaux, ces frangypans de vieille souche, ne souhaite ? ... et qui finalement recèlent de rares trésors !
À Bel-Air, le sentiment d'impunité se nourrit des incohérences du système ! Pourquoi s'en priver ? Au centre d'un conflit, savamment entretenu depuis 2004 par une certaine communauté agricole, voué à être détruit pour élargir la cour du XVIIe exigüe que traverse aujourd'hui, un chemin rural. Les peintures murales ont "sauvé la vie" du Domaine. Aujourd'hui protégé de l'impéritie politique et de la bêtise humaine, les propriétaires luttent depuis contre une association (collectif identitaire) fantoche ABAG d'agriculteurs, viticulteurs, chasseurs et de leurs proches, ou l'on retrouve M.Bernard Revillon, agriculteur, aujourd'hui, Maire de Frangy.
À Bel-Air, les corps de logis et de dépendances agricoles, sont fragilisés par de trop nombreuses collisions intentionnelles et régulières d'engins agricoles. Au centre d'un conflit, savamment entretenu depuis 2004 par une certaine communauté agricole, voué maintes fois à être détruit par ses propriétaires, MM Guy Lacôte et Christophe Banchet, futurs co-gérants du GAEC Lo Pres Dary mais aussi par la mairie de Frangy, un élu de vieille souche et M.Le Maire, Alain Poyrault.
Des fissures et des chutes de pierres ont été constatées au niveau du corps de dépendances agricoles. L’édifice bâti il y a plusieurs siècles risque tout bonnement de tomber en ruine. L’urgence d’engager sans tarder des travaux de confortement de ce bâtiment est vitale. Le seul but avoué : élargir la cour du XVIe exigüe du Domaine que traverse aujourd'hui, un chemin rural et ... "faire dégager" ces néo-ruraux là qui "nous emmerdent" avec leurs enfants ! toutes cessions ayant été refusées par ces agriculteurs.
Chers Amis,

À Frangy, le peu qui reste continue de subir les affres de la bêtise, du laisser-aller et de l'abandon. Le vieux Centre-bourg en est l'exemple édifiant. Il donne l'image d'un désastre. Il est par ailleurs très facile de laisser l'habitat se dégrader et de s'en servir ensuite comme prétexte pour le démolir. Le village compte encore de rares témoignages du passé tumultueux du Genevois mais plusieurs d’entre eux ont littéralement disparu sous le coups des bulldozers et autres pelleteuses d'entrepreneurs BTP locaux; en cause : l’incurie municipale, une urbanisation désordonnée, voire chaotique, ...
À Frangy, ces destructions ont fait des ravages et continue d'en faire. Alors que des édifices sont ensevelis sous des gravats, concassés dans des zones industrielles, la préservation est, semble-t-il, le dernier souci des élus et de M. Le Maire, Bernard Revillon, agriculteur. Il est difficile de se prononcer, aujourd'hui avec exactitude, sur le nombre des bâtiments historiques qui ne figurent plus que sur les plus anciennes des cartes postales ou photos des vieux frangypans.

À Bel-Air, construits dans la pente, le corps de logis et le corps de dépendances agricoles, deux des plus imposants bâtiments encore debout, s’articulent autour d’une cour ouverte exigüe du XVIe. Ils sont articulés avec le bucher, le lavoir, le pigeonnier autour d'une cour exigüe, orientée Est-Ouest. L’accès à ces espaces de vie se fait uniquement par la cour centrale, à l'exception des caves viticoles du corps de logis.
À Bel-Air, l'enjeu a été un temps de déstabiliser sa structure et provoquer ainsi sa destruction. Partie intégrante du Domaine, il a donc été inscrit depuis, contre l'avis de ses propriétaires et d'un agriculteur, aujourd'hui maire omnipotent. Bien que protégé depuis, il est toujours l'objet d'un chantage aux acte de vandalisme (et donc à la ruine). La mise en péril étant l'une des prérogatives permettant à un Maire de détruire un monument, même inscrit. Sciemment non entretenu, il continu à être volontairement percuté par d'énormes engins, toujours autorisés depuis que M. Le Maire, ait enlevé l'interdiction, ... jamais respectée et réprimée.
Sous l'impulsions des propriétaires du corps de logis et de rapports accablants, ces agriculteurs ont été sommés de procéder à quelques travaux, sous couvert d'une expropriation.
À Bel-Air, de graves désordres structurels ont été repérés comme des problèmes de stabilité des pierres d'angle, de fissures sur les maçonneries d'appui ou de fuites. A Frangy, comment ne pas être atterrés de constater avec quel mépris le patrimoine est traité ? Comment ne pas être atterrés par l'accueil réservé à ces néo-ruraux, à ces étrangers qui rachètent ces vieilles maisons délabrées en ruine, rachetées au prix fort à ces agriculteurs, amoureux de leurs terres et de leurs village ... à eux, qui n'hésitent pas à les détruire et dont aucun locaux, ces frangypans de vieille souche, ne souhaite ? ... et qui finalement recèlent de rares trésors !
À Bel-Air, le sentiment d'impunité se nourrit des incohérences du système ! Pourquoi s'en priver ? Au centre d'un conflit, savamment entretenu depuis 2004 par une certaine communauté agricole, voué à être détruit pour élargir la cour du XVIIe exigüe que traverse aujourd'hui, un chemin rural. Les peintures murales ont "sauvé la vie" du Domaine. Aujourd'hui protégé de l'impéritie politique et de la bêtise humaine, les propriétaires luttent depuis contre une association (collectif identitaire) fantoche ABAG d'agriculteurs, viticulteurs, chasseurs et de leurs proches, ou l'on retrouve M.Bernard Revillon, agriculteur, aujourd'hui, Maire de Frangy.
À Bel-Air, les corps de logis et de dépendances agricoles, sont fragilisés par de trop nombreuses collisions intentionnelles et régulières d'engins agricoles. Au centre d'un conflit, savamment entretenu depuis 2004 par une certaine communauté agricole, voué maintes fois à être détruit par ses propriétaires, MM Guy Lacôte et Christophe Banchet, futurs co-gérants du GAEC Lo Pres Dary mais aussi par la mairie de Frangy, un élu de vieille souche et M.Le Maire, Alain Poyrault.
Des fissures et des chutes de pierres ont été constatées au niveau du corps de dépendances agricoles. L’édifice bâti il y a plusieurs siècles risque tout bonnement de tomber en ruine. L’urgence d’engager sans tarder des travaux de confortement de ce bâtiment est vitale. Le seul but avoué : élargir la cour du XVIe exigüe du Domaine que traverse aujourd'hui, un chemin rural et ... "faire dégager" ces néo-ruraux là qui "nous emmerdent" avec leurs enfants ! toutes cessions ayant été refusées par ces agriculteurs.








Corps de dépendance Bel-Air Domaine
All Corps de dépendance Bel-Air Domaine
Histoire Corps de dépendance Bel-Air
q société Banchet Lucien
> Destruction proposée, par les futurs co-gérants du GAEC Lo Pres Dary pour construire un énorme hangar métallique pour stocker matériel agricole et bottes de foin. Hangar qui d'après M.Christophe Banchet aurait eu pour effet immédiat de faire dégager ces connards avec leurs enfants. Destruction proposée, à plusieurs reprises par MM.Le Maire et l'omniprésent Bernard Revillon devant Mme la Déléguée du Procureur de la République, des élus, afin de permettre le transit d'énormes camions de granulés, poids lourds et autres convois d'engins agricoles à destination des GAEC Lo Pres Dary et Les ARICOQUES, (voisins du Domaine)
All Médiation Bel-Air
All Délibération Bel-Air
À noter les multiples refus, alors inexpliqués des élus et de M.Le Maire, de procéder à la simple études des différents projets de contournement soumis, présentés et financés par les seuls propriétaires.
Croisade Conservation Bel-Air
Destruction à nouveau confirmée, lors d'une réunion mémorable en mairie, suite à l'inscription qu'ils leur a été imposée dixit M.Bernard Revillon, de l'ensemble du Domaine.
Arrêté imminent que M.Le Maire, Bernard Revillon, agriculteur, sympathisant ABAG se serait empressé de prendre. Et oui, le bâtiment est seulement inscrit, il n'est pas classé ! C'est le seul cas ou M.Le Maire peut prendre la main pour détruire un monument historique ... inscrit ! Tel était le projet des propriétaires, les co-gérants du GAEC, en réponse à l'inscription, qu'il leur leur a été imposée.
All Menaçant ruine Bel-Air
À Frangy, la démolition ne sera alors plus une honte, un scandale, elle sera alors vivement conseillée. Mais voilà, ces connards de propriétaires ne voit pas le futurs du Domaine comme cela (...). La stratégie de M.Le Maire et des co-gérants du GAEC a été revue : acculés par la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Rhône-Alpes, les co-gérants sont obligés à faire exécuter des travaux ... mais voilà ce sont des agriculteurs. Y-a pas d'sous, les pov' regardez l'état de l'exploitation.
Alors attendons le rapport, attendons un peu beaucoup, déposons un permis, attendons les délais légaux, faisons diversion (...), pour faire des travaux de réparation de fissures, faut avoir un plan de l'ensemble, demandons une subvention exceptionnelle, faut avoir des devis : Mermier1, Mermier2, CAUE74, CAPEB01, demandons une subvention à plus de 77% (incroyable), attendons, attendons
Enfin, après un n-ième pétage de plomb de M.Guy Lacôte, destruction le 1er octobre 2012 d'un mur de refend
M. Le Maire n'a pas déposé plainte pour éclaircir ces agissements et pour que le vandale ayant saccagé une part du patrimoine historique de Frangy soit jugé, et sévèrement condamnés. M. L'Architecte des bâtiments de France, Christophe Margueron s'est déplacé et a refusé de porter plainte au nom de l'état contre un agriculteur ... qui a pété les plombs. Quant à Mme Marie Bardisa, conservatrice en Chef des Monuments historiques de la DRAC Rhône-Alpes a tout simplement ignoré les communications des propriétaires.
Imposée (l'inscription) à ses propriétaires agriculteurs, l'État français, des services s'en jouent aujourd'hui !
Ce simple fait devrait le protéger de tout acte de vandalisme agricole et/ou de ruine, voire de destruction, à fortiori lorsque celle-ci est proposée, à nouveau, en mairie ou bien que le souhait d'y mettre volontairement le feu soit exprimé à plusieurs reprises par M.Christophe Banchet devant témoins, voire de le détruire à coups de godet de tracteur.
L'atavisme est toujours le plus fort. Folie destructrice de la cupidité sans limites qui domine notre époque, le summum du paradoxe, bénéficier de subventions du département au taux improbables; tout en continuant de déstabiliser l'édifice, tant par le transit d'engins agricoles énormes, de poids-lourds 32T béliers, que par les actes délictueux répétés de M. Guy Lacôte (mur de refend, poutraison, portes, ...). Quant à ses abords, ils sont constamment souillés en toute impunité par ces mêmes agriculteurs ; le constat est alarmant et c'est sans compter les constructions et autres destructions sans autorisation, voire permis !
Les propriétaires ne disconviennent pas de la légitimité de M. Le Procureur de mener toutes les investigations utiles qu’il jugera nécessaire.
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Des paroles et des actes. A vous de juger.
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